Tableau "Le jardin de la rue Cortot, Montmartre" (1876), encadré
Tableau "Le jardin de la rue Cortot, Montmartre" (1876), encadré
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 980 exemplaires | numérotés | certificat | reproduction, impression Giclée sur toile | sur châssis | encadré | taille 78 x 53 cm (h/w)
Description détaillée
Tableau "Le jardin de la rue Cortot, Montmartre" (1876), encadré
C'est dans le quartier des artistes de Montmartre, à Paris, que l'artiste a trouvé l'inspiration pour nombre de ses œuvres atmosphériques. Original : 1876, huile sur toile, 154 x 89 cm, Carnegie Institute, Pittsburgh.
Édition transférée directement sur la toile de l'artiste par le procédé Fine Art Giclée et tendue sur châssis. Édition limitée à 980 exemplaires, numérotés et accompagnés d'un certificat. Encadré dans un cadre en bois massif blanc-doré fait à la main. Dimensions : 78 x 53 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi.
A propos Auguste Renoir
1841-1919
L’œuvre complète de Renoir, né à Limoges en 1841, est marquée par sa croyance inébranlable en la force vivifiante de la nature. Les couleurs lumineuses de ses paysages, le charme voluptueux des peintures de femmes et de jeunes filles en témoignent par leur gaieté légère.
Initialement, Renoir travaillait en tant que peintre sur porcelaine et étudiait au Louvre les œuvres d’Antoine Watteau et François Boucher. En 1862, il fit des études à l’École des Beaux-Arts pour finalement se tourner à la fin des années 1860 vers la peinture sur le motif influencé par l’école de Barbizon. Il découvrit, avec Claude Monet, Frédéric Bazille et Alfred Sisley, les avantages particuliers de la peinture en plein air et entretint des contacts étroits avec Camille Pissarro et Paul Cézanne. Il inventa avec Claude Monet le trait de pinceau léger, si caractéristique de l’impressionnisme, avec lequel il pût capturer la grande versatilité des couleurs à la lumière. Outre les tableaux de paysages, il fit également des portraits, notamment de ses amis peintres et de sa modèle préférée Lise Tréhot.
À l’été 1869, il produisit une série de tableaux pour le restaurant "la Grenouillère" dans lequel il allait souvent avec Monet. Ces tableaux inondés de lumière illustrent parfaitement son style propre et reconnaissable, aux traits de pinceau furtifs et aux coloris doux et clairs, à même de capturer le chatoiement de l’air et les scintillements de l’eau. En outre, Renoir s’inspirait occasionnellement des œuvres de Courbet et de Delacroix en utilisant des tons sourds et une application plus dense du pinceau.
Cependant, après un voyage en Italie dans les années 1880, Renoir s’éloigna de l’impressionnisme. Désormais, il ne s’intéressait plus à la reproduction d’un décor atmosphérique, mais au dessin et à la composition en s’inspirant du style de Raphaël et de Ingres.
Son œuvre tardive témoigne d’une immense force chromatique, combinée à des éléments de dessins qui ne laissa rien présager de ses graves rhumatismes, surtout des mains. Avec l’aide d’un de ses étudiants, le sculpteur Maillol, sont nées à cette époque quelques sculptures de bronze.
Le peintre et graphiste le plus important de l’impressionnisme mourût en peintre reconnu mondialement le 3 décembre 1919 à Cagnes-sur-Mer.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
La méthode dite en "giclée" est un procédé d’impression digitale. Il s’agit d’une impression de haute définition et en grand format sur une imprimante à jet, de fines gouttelettes d’encres spéciales de couleurs différentes et à partir de colorant ou de pigment (généralement entre 6 et 12). Les couleurs sont résistantes à la lumière, c’est-à-dire aux UV qui pourraient dégrader leur pigmentation. Elles présentent une grande richesse de nuances, de contrastes ainsi qu’un haut degré de saturation.
Le procédé en giclée est approprié pour les toiles d’artistes, le papier pour aquarelle et le papier fait main, ainsi que pour la soie.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.