Tableau "Elsbeth parmi les lys de feu" (1907), encadré
Tableau "Elsbeth parmi les lys de feu" (1907), encadré
Brève info
limité, 500 exemplaires | reproduction sur carton | encadré | passe-partout | émaillé | dimensions 102,5 x 65,5 cm (h/l)
Description détaillée
Tableau "Elsbeth parmi les lys de feu" (1907), encadré
Original : 1907, toile, 70,7 x 34 cm, Francfort-sur-le-Main, propriété privée.
Reproduction artistique détaillée par un procédé sans grille, modulé en fréquence, sur un carton d'art. Édition limitée à 500 exemplaires. Propriété privée © 2007 DACO-VERLAG. Encadré en bois massif avec passe-partout, émaillé. Dimensions 102,5 x 65,5 cm (h/l).
Producteur : ars mundi Edition Max Büchner GmbH, Bödekerstraße 13, 30161 Hanovre, Allemagne E-mail : info@arsmundi.de
A propos Paula Modersohn-Becker
1876-1907
Ce n'est qu'après sa mort prématurée que l'on a reconnu en Paula Modersohn-Becker une pionnière de l'art moderne, qui anticipait sur beaucoup de choses que d'autres commençaient tout juste à faire. La peintre n'a cessé d'expérimenter de nouvelles manières d'autonomiser la couleur, la forme et la surface et d'augmenter ainsi l'expression de ses tableaux.
Au tournant du siècle, elle réalisa, en plus de nombreux portraits, des études de paysages de marais et de bouleaux aux accents tantôt impressionnistes, tantôt expressionnistes, qui laissaient transparaître sa préférence pour une structure picturale strictement réduite et son rejet de l'illusionnisme profond. En fin de compte, il s'agissait toujours pour elle de révéler la poésie secrète des choses derrière leur apparence extérieure. Elle résumait elle-même cet objectif artistique dans la formule "La chose en soi dans l'humeur".
À l'occasion du centenaire de la mort de cette grande peintre allemande, de grandes expositions ont été organisées au Niedersächsisches Landesmuseum de Hanovre, à la Kunsthalle de Brême et aux Kunstsammlungen Böttcherstraße de Brême.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.