Thomas Baumgärtel:
Tableau "Royal Crown Banana" (2005)
Vue proportionnelle
Tableau "Royal Crown Banana" (2005)
Thomas Baumgärtel:
Tableau "Royal Crown Banana" (2005)

Brève info

limité, 50 exemplaires | numérotés | signés | graffiti au pochoir sur papier fait main | non encadré | format 50 x 40 cm

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Variante de cadre
Tableau "Royal Crown Banana" (2005)
Thomas Baumgärtel: Tableau "Royal Crown Banana" (2005)

Description détaillée

Tableau "Royal Crown Banana" (2005)

Graffiti original au pochoir 2005, édition de 50 exemplaires sur papier fait main, numérotés et signés à la main. Chaque exemplaire est peint à la main par l'artiste. Non encadré. Format de la feuille 50 x 40 cm.

Hersteller: ars mundi Edition Max Büchner GmbH, Bödekerstraße 13, 30161 Hannover, Deutschland E-Mail: info@arsmundi.de

A propos Thomas Baumgärtel

Thomas Baumgärtel (né en 1960), connu sous le pseudonyme de « Bananensprayer » (fr. Sprayer de bananes), est aujourd’hui un artiste respecté, dont les séries d’œuvres mettent en scène le fameux fruit jaune.

Depuis 1986, il marque de sa banane dans le monde entier, de New York à Pékin, les lieux culturels les plus intéressants. Entre temps, elle est devenue le logo de la scène de l’art et se trouve à l’entrée de presque toutes les galeries et musées d’art moderne du monde entier. Pour Baumgärtel, elle symbolise la liberté de l’art, qui consiste notamment à permettre une forme subversive de l’amusement en faisant d’un banal graffiti le logo artistique d’un espace public.

Les travaux de Thomas Baumgärtel ne sont cependant pas qu’amusement et provocation : l’artiste se penche également sur des sujets politiques actuels, qu’il met en relation de manière critique avec son motif distinctif. Il représente sans hésitation le président des États-Unis Donald Trump sous la forme d’un singe avec une banane dans la bouche et sur fond de drapeau américain. L’image, créée en 2016, se trouve déjà dans une collection privée et a été publiée sur Twitter par Baumgärtel à des fins d’autopromotion, mais elle a été supprimée par la plateforme. L’artiste s’est plaint de la censure : « Ça va trop loin, dans ce cas-là on peut faire une croix sur la liberté d’expression. Ça me fait flipper. » Et ce, alors que, pour lui, c’est justement la banane qui symbolise la liberté de l’art.

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