Boucles d'oreilles "Les Lumières de Monet"
Boucles d'oreilles "Les Lumières de Monet"

Brève info

argent 925 partiellement doré | pierre de lune | iolite | taille 1,5 x 1 cm (h/l)

TVA incluse plus Livraison

Réf. produit IN-936998

Delai de livraison : Disponible immédiatement

Boucles d'oreilles "Les Lumières de Monet"
Boucles d'oreilles "Les Lumières de Monet"

Description détaillée

Boucles d'oreilles "Les Lumières de Monet"

Ces bijoux, inspirés par les jeux changeants de lumière et de couleur de Claude Monet, rappellent les reflets du soleil sur l'eau des étangs à nénuphars, devenus le symbole de l'impressionnisme dans les œuvres magiques de Monet. Réalisé en argent 925 partiellement doré, affiné avec de la pierre de lune et de l'iolite. Taille 1,5 x 1 cm (h/l) chacune. Fermoir enfichable en argent 925 plaqué or.

Porträt des Künstlers Claude Monet

A propos Claude Monet

1840-1926

L’art de Monet incarne l’essence même de l’impressionnisme. Au cours de sa longue vie de peintre, il fût inlassablement à la recherche de possibilités pour représenter la fluidité de la lumière et des couleurs à travers les différentes variations atmosphériques et les temps de la journée.

Né à Paris, il grandit sur la côte normande, au Havre, où son père tenait une petite épicerie coloniale. Il fit ses premiers essais artistiques dans le domaine de la caricature pour finalement se tourner plus tard vers la peinture sur le motif. Des tons clairs et pastels apparurent ainsi sur ses toiles. Alors que ses peintures sont constamment rejetées par le Salon de Paris, Monet et ses amis, Auguste Renoir et Alfred Sisley, ne sont pas découragés pour autant. Lors de leurs excursions à Fontainebleau, ils créaient de superbes peintures tout en délaissant toujours plus la rigueur académique.

Monet et sa compagne Camille, enceinte, furent bientôt confrontés à une situation financière très précaire. Pendant la guerre entre la France et l’Allemagne, Monet et sa jeune famille s’enfuirent à Londres. Puis à la fin de la guerre, ils s’installèrent à Argenteuil. Situé au bord de la Seine en dehors de Paris, ce petit lieu pittoresque devint rapidement l’attraction de nombreux peintres impressionnistes: Édouard Manet, Gustave Caillebotte, mais également Camille Pissarro, Auguste Renoir et Alfred Sisley s’y retrouvaient pour fixer leurs impressions toute fraiches sur la toile. Dans une première exposition indépendante du groupe, une peinture de Monet, "Impression. Soleil levant" prêta son nom au courant artistique.

Après le décès de Camille, Monet emménagea avec sa seconde femme Alice à Giverny. C’est là qu’il pût réaliser le rêve de sa vie: aménager lui-même son propre jardin. Avec ses ponts japonais et mares parsemées de nymphéas, le jardin fleurissant inspira Monet de nombreux tableaux toujours plus grands, où l’incessante variabilité du monde floral dépeignait l’harmonie renversante et décorative de la nature.

La propriété - léguée par le fils de Monet en 1966 à l’académie des Beaux-Arts et à partir de 1980 à la fondation Claude Monet - fût pour lui une source inépuisable d’inspiration. Aujourd’hui, le jardin de Giverny est devenu la destination phare de nombreux amateurs d’arts: qui le visite est immédiatement transporté dans le monde pictural de l’artiste. Au printemps, tout y est baigné dans l’éclat des couleurs somptueuses. À la vue des mares de nymphéas, maintes fois peintes par Monet, on est surpris par la justesse avec laquelle, pris d’un entêtement artistique, il captura ce décor. "Je dois avoir des fleurs, toujours, toujours. Mon cœur est à Giverny, toujours, toujours … Quitter Giverny m’ennuierait beaucoup, certain de ne jamais retrouver une pareille installation ni un si beau pays," telle était la conviction de Monet. D’ailleurs, plus jamais il ne dût s’en séparer. Monet mourût le 5 décembre 1926 à Giverny, si cher à ses yeux.

Monet était considéré comme l’inventeur de rêves colorés allant au-delà du visible. Il était pourtant bien plus, cherchant toujours à réaliser son idée d’une peinture à ciel ouvert - en plein air. Pour sa peinture, l’important n’était pas ce qu’il voyait, mais bien la façon dont il le voyait.

Recommandations