Sculpture "Crécerelle", bronze
Sculpture "Crécerelle", bronze
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 199 exemplaires | numérotés | signature | poinçon de fonderie | certificat | bronze | patiné | poli | dimensions 38 x 20 x 15 cm (h/l/p) | poids 6,7 kg
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Description détaillée
Sculpture "Crécerelle", bronze
Le faucon crécerelle - oiseau de l'année 2007 en Allemagne - pourrait être considéré comme une sorte de lien entre la nature animale et la civilisation humaine. C'est le faucon le plus répandu en Europe centrale et probablement le plus connu, car il aime faire des établissements humains son lieu de nidification. Schinzel montre le puissant oiseau de proie regardant attentivement au loin - et observant peut-être aussi l'activité humaine curieuse qui l'entoure.
Sculpture en bronze, coulée selon le procédé de la cire perdue, patinée et polie. Coulée directement à partir de l'original. Édition limitée à 199 exemplaires, numérotés et portant la signature du professeur Schinzel tirée de l'original ainsi que le poinçon de la fonderie. Un certificat numéroté à la main est inclus. Dimensions : 38 x 20 x 15 cm (h/l/p). Poids 6,7 kg. ars mundi Exclusive Edition.
Evaluations client
Alliage de cuivre avec d’autres métaux (surtout avec de l’étain) utilisé depuis l’Antiquité. Métal résistant sur des millénaires, idéal pour la fonte d’œuvres d’art de grande valeur.
Dans la fonte de bronze, l’artiste utilise généralement le procédé à la cire perdue, vieux de plus de 5000 ans. C’est le meilleur procédé, mais aussi le plus complexe pour la conception de sculptures.
D’abord, l’artiste forme le modèle de sa sculpture. Celui-ci est, par la suite, encastré dans une masse liquide de silicone et de caoutchouc. Lorsque le matériau s’est durci, on retire le modèle en découpant autour. On coule de la cire liquide dans le moule négatif ainsi obtenu. Après refroidissement, le sculpture en cire est retirée du moule, pourvu de canaux de fonte, pour être ensuite plongé dans une solution de céramique. Cette solution est alors durcie dans un fourneau, alors que la cire s’écoule (moule perdu).
On se trouve ainsi en possession du moule négatif dans lequel du bronze fondu à 1400°C peut être coulé. Après le refroidissement du bronze, la coque en céramique est brisée et la sculpture ressort.
Ensuite, les canaux de fonte sont retirés, et la surface est polie, patinée et numérotée par l’artiste ou par un spécialiste suivant ses instructions. Ainsi, chaque fonte est un original.
Dans le cas de fonte de bronze de moins grande valeur, on utilisera plutôt le procédé de la fonte au sable, qui n’équivaut pas la qualité et la reconstitution de la surface atteintes par le complexe procédé à la cire perdue.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
Terme qui désigne un objet d’art (sculpture, installation), fabriqué selon le souhait de l’artiste en plusieurs exemplaires, dont l’édition est limitée et numérotée.
Le principe de multiple permet à l’art de se "démocratiser", en rendant l’œuvre abordable et accessible pour un plus grand nombre de personnes.
Œuvre d’art plastique en bois, en pierre, en ivoire, en bronze et bien d’autres métaux.
Alors que les sculptures de bois, d’ivoire ou de pierre doivent être directement travaillées à même le matériau, les sculptures de bronze sont formées à partir d’un modèle de l’œuvre, fabriquée en argile ou un autre matériau facilement malléable.
Après l’Antiquité gréco-romaine, la sculpture connut une apogée durant la Renaissance. L’impressionnisme donna à l’art sculptural une nouvelle impulsion. Des artistes contemporains, tels que Jörg Immendorff, Andora, Markus Lüpertz, ont également enrichi ce domaine de l’art par des sculptures majeures.