James Rizzi:
Tapis "Give Peace a Chance" (230 x 160 cm)
James Rizzi:
Tapis "Give Peace a Chance" (230 x 160 cm)

Brève info

ars mundi Exclusive Edition | limitée, 355 exemplaires au total | certificat | fibre synthétique + feutre | dimensions 230 x 160 cm (l/l) | convient pour le chauffage par le sol

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Réf. produit IN-853565

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Tapis "Give Peace a Chance" (230 x 160 cm)
James Rizzi: Tapis "Give Peace a Chance" (230 x 160 cm)

Description détaillée

Tapis "Give Peace a Chance" (230 x 160 cm)

Le symbole de la paix n'est pas seulement un emblème mondial de la paix, mais il est aussi devenu un symbole de Rizzi, grâce à ses nombreuses photos qui tournent autour de ce symbole dans différentes couleurs, formes et remplissages. Pour lui, l'interaction respectueuse entre des personnes d'origines, de religions ou de cultures différentes a toujours été une affaire de cœur. Rizzi considérait la coexistence des gens dans sa ville natale de New York comme exemplaire.
Sur ses photos, des personnes de différentes couleurs de peau se serrent souvent dans les bras. Son tableau "Give Peace a Chance", qui a inspiré ce tapis, exprime cette attitude de manière colorée et joyeuse.

Transféré sur un tapis tufté en fibres synthétiques de haute qualité. Dos en feutre avec bande de moquette bordée. Moquette 100% polyamide, dos et bande 100% polyester. Convient pour le chauffage par le sol. Édition limitée à 350 exemplaires + 5 exemplaires A.P. Avec certificat. Taille 230 x 160 cm (l/w). ars mundi Exclusive Edition.

Porträt des Künstlers James Rizzi

A propos James Rizzi

1950-2011 - peintre et graphiste, artiste du Pop Art new-yorkais

Ses amis l’appelaient Jimmy, et il avait le même air que le gentil garçon du coin. En dépit des études universitaires et de la formation académique en peinture, en gravure à l’eau-forte, en lithographie et en sculpture, James Rizzi réussit de façon spectaculaire à donner vie aux caractéristiques positives de l’enfant en lui: la curiosité enfantine, la joie de vie naïve, le goût pour tout ce qui est coloré et pour les jeux d’enfants, avec lesquels il peignait sur de tristes murs de maison - tout cela rendait son travail si sympathique et apprécié. Jimmy était un véritable enfant du melting-pot new-yorkais avant de se faire connaître pour ses impressions en 3D.

James Rizzi, peintre, graphiste et sculpteur, est né en 1950 à Brooklyn, New York où il passa toute son enfance. À l’université de Floride à Gainesville, il fît d’abord des études de commerce. Mais il se tourna peu à peu vers l’art pour finalement, en 1974, recevoir son diplôme en peinture, graphisme et sculpture.

Durant ses premières années universitaires, Rizzi vendait ses impressions graphiques et peinture dans les rues de New York (à côté du Musée d’Art moderne et du Metropolitan Museum). En 1977, on demanda à James Rizzi d’exposer certaines de ses œuvres à l’exposition collective "Thirty Years of American Printmaking" au Musée de Brooklyn, à laquelle participèrent également Andy Warhol, Jim Dine et Roy Lichtenstein. Depuis, il a participé à d’innombrables expositions, seul ou en groupe, et a rencontré un grand succès dans le monde entier.

A côté de produits dérivés comme des t-shirts, des chapeaux et des cravates, James Rizzi a réalisé un grand nombre de projets. Volkswagen pût par exemple s’approprier les services de l’artiste pour la réédition de la ‘Beetle’, tout comme l’édition Brockhaus pour son encyclopédie. Pour les 40 ans de la compagnie aérienne Condor, Rizzi revêtit la coque du Boeing 757 de ses créations loufoques (le "Rizzi bird"), ce qui mit les voyageurs de bonne humeur pour leurs vacances. Des posters de musique, des couvertures de CD et même les jeux olympiques d’Atlanta ont eu la chance de profiter de ses joyeuses peintures. Et dans le cadre de l’expo 2000 à Braunschweig, la seule et unique "Happy RIZZI-House" vit le jour.

Ses créations graphiques en 3D, pleines de couleurs, du monde des sports sont aujourd’hui des pièces de collection particulièrement recherchées, dont la valeur peut potentiellement aller très haut. Ainsi, le prix de 4500 dollars a été attribué le tableau "New York Marathon for all" en 1997, pour monter à plus de 15000 dollars 5 ans plus tard - d’autres œuvres ont même été attribuées une plus-value encore plus importante.

Il faisait partie de ces artistes dont l’ambition n’était autre que de créer, à travers leur art, un monde à part entière. Et c’est lors de la plus grande exposition au monde du New-yorkais à Brème en octobre 2010 (qui s’étira jusqu’au 4 juillet 2011), à l’occasion de ses 60 ans, que l’on put constater à quel point il avait réussi.

James Rizzi, considéré pendant des années comme le successeur légitime des légendes du Pop Art new-yorkais tels que Andy Warhol et Keith Haring, vécut et travailla à Soho, New York jusqu’à sa mort soudaine en décembre 2011.

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