Tableau "La vague (Surf)" (1915), encadré
Tableau "La vague (Surf)" (1915), encadré
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 980 exemplaires | numérotés | signés | certificat | reproduction, impression Giclée sur toile | sur châssis | encadrée | taille approx. 58 x 83 cm (h/w)
Description détaillée
Tableau "La vague (Surf)" (1915), encadré
Original : 1915, huile sur toile, 100 x 148,5 cm, Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte Oldenburg.
Édition transférée sur la toile de l'artiste par le procédé Fine Art Giclée et tendue sur châssis. Édition limitée à 980 exemplaires, numérotés et signés, avec certificat. Encadré dans un cadre en bois massif blanc-doré fait à la main. Dimensions : environ 58 x 83 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi.
A propos Karl Hagemeister
1848-1933
Karl Hagemeister est considéré en Allemagne comme l’un des peintres de paysage les plus importants du début du XXème siècle et fait partie, aux côtés d’artistes tels que Max Liebermann, Lovis Corinth et Max Slevogt, des impressionnistes allemands les plus influents.
Hagermeister trouve son inspiration dans la région où il vécut toute sa vie : le paysage de la Havel, rivière au nord de l’Allemagne, avec ses nombreux cours d’eau et ses vastes prairies humides, suscita un sentiment fort pour la nature qui se reflète clairement dans ses œuvres.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
La méthode dite en "giclée" est un procédé d’impression digitale. Il s’agit d’une impression de haute définition et en grand format sur une imprimante à jet, de fines gouttelettes d’encres spéciales de couleurs différentes et à partir de colorant ou de pigment (généralement entre 6 et 12). Les couleurs sont résistantes à la lumière, c’est-à-dire aux UV qui pourraient dégrader leur pigmentation. Elles présentent une grande richesse de nuances, de contrastes ainsi qu’un haut degré de saturation.
Le procédé en giclée est approprié pour les toiles d’artistes, le papier pour aquarelle et le papier fait main, ainsi que pour la soie.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.