Max Pechstein:
Tableau "Kurenkähne in the Bay" (1912), encadré
Vue proportionnelle
Tableau "Kurenkähne in the Bay" (1912), encadré
Max Pechstein:
Tableau "Kurenkähne in the Bay" (1912), encadré

Brève info

ars mundi Édition exclusive | limitée, 199 exemplaires | certificat numéroté | reproduction, impression giclée sur toile | sur châssis | encadrée | taille 51 x 66 cm (h/l)

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Variante de cadre
Tableau "Kurenkähne in the Bay" (1912), encadré
Max Pechstein: Tableau "Kurenkähne in the Bay" (1912), en...

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Description détaillée

Tableau "Kurenkähne in the Bay" (1912), encadré

À partir de 1909, Pechstein visite à plusieurs reprises l'isthme de Courlande et sa colonie d'artistes, Nidden. Il y peint, reste en contact étroit avec les pêcheurs locaux et va même pêcher avec eux dans la lagune de Courlande. Ses "Kurenkähne" de 1912 représentent le bord de mer et la "terre". Les bateaux qui donnent leur titre au tableau flottent à l'arrière-plan, mais la moitié du tableau appartient aux arbres courbés par le vent dans un paysage coloré. Original : 1912, huile sur toile, 50 x 67 cm, © 2022 Pechstein Hamburg / Preetz.

Reproduction brillante selon le procédé Fine Art Giclée sur toile d'artiste 100 % coton, montée sur châssis. Édition limitée à 199 exemplaires avec certificat numéroté au dos. Encadré dans un cadre patiné noir avec bordures argentées. Dimensions : 51 x 66 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi.

Porträt des Künstlers Max Pechstein

A propos Max Pechstein

1881-1955

Max Pechstein était et est toujours aujourd’hui considéré comme l’un des représentants les plus importants de l’expressionnisme allemand. Au printemps 1906, il rejoint le collectif d’artistes "Die Brücke", fondé plus tôt dans l’année par Kirchner, Heckel, Schmidt-Rottluff et Bleyl. Outre sa peinture, son œuvre compte, dans le domaine graphique, plus de 850 xylographies, gravures à l’eau-forte et de lithographies.

La côte de la mer Baltique était à Max Pechstein ce qu’était Tahiti à Paul Gauguin: un paradis, où il trouvait non seulement la paix, mais surtout une grande source d’aspiration. Il voyagea à partir de 1909 plusieurs fois à Nida, sur l’isthme de Courlande, où plus d’un quart de siècle auparavant travaillait Louis Corinth comme jeune étudiant en art. Le chemin pour s’y rendre fût cependant interdit d’accès lorsque les accords de Versailles déclarèrent en 1920 l’isthme de Courlande sous administration des Alliés. Selon ses dires, Pechstein dût "se mettre à nouveau à la recherche d’un nouveau morceau de terre qui n’était pas surpeuplé de peintres, touristes et de baigneurs." C’est ce qu’il trouva à Leba, qu’il fréquenta désormais régulièrement pendant l’été.

"Pendant plus de 20 ans, Max Pechstein partit chaque été sur la côte de la mer Baltique, d’abord sur l’isthme de Courlande, puis en Poméranie, ce qui le lie bien sûr fortement à notre maison. Lorsqu’il loua pour la première fois en 1921, à l’époque encore avec sa première femme, il était loin de s’imaginer la liaison qu’il ressentira avec la petite ville portuaire de Leba, puisqu’il y tomba amoureux de Marta Möller, la fille de l’aubergiste. La pipe toujours au coin de la bouche et la peau bronzée et tatouée d’une ancre, Pechtsein, le passionné de pêche, fût accompagné jusqu’à la fin de sa vie par la nature immaculée, avec ses lagunes côtières, et d’un bateau de pêche dans le port, même lorsqu’après la Seconde Guerre mondiale, lui et sa femme ne purent plus voyager jusqu’en Poméranie." (Dr. Birte Frensen, Directrice adjointe au musée régional de Poméranie à Greiswald)

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