Max Pechstein:
Tableau "Sunset" (1925), version encadrée dorée
Vue proportionnelle
Tableau "Sunset" (1925), version encadrée dorée
Max Pechstein:
Tableau "Sunset" (1925), version encadrée dorée

Brève info

ars mundi Exclusive Edition | limitée, 199 exemplaires | numérotés | reproduction sur papier fait main | encadrée | passe-partout | émaillée | dimensions approx. 51 x 62 cm (h/l)

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Variante de cadre
Tableau "Sunset" (1925), version encadrée dorée
Max Pechstein: Tableau "Sunset" (1925), version encadrée...

Description détaillée

Tableau "Sunset" (1925), version encadrée dorée

Ce que Tahiti représentait pour Paul Gauguin, la côte baltique le représentait pour Max Pechstein : un paradis où il a trouvé la paix, mais surtout une grande inspiration. Pendant plus de vingt ans, Pechstein s'est rendu chaque été sur la côte baltique. La pipe au coin de la bouche, le bronzage et l'ancre tatouée, la nature intacte avec ses lacs de plage et les bateaux de pêche dans le port ont accompagné le pêcheur passionné qu'était Pechstein jusqu'à la fin de sa vie.

Reproduction de haute qualité sur papier lourd fait main Hahnemühle. Encadré dans un cadre en bois massif doré fait à la main avec passe-partout, vitré. Édition limitée à 199 exemplaires, numérotés au dos. Dimensions : environ 51 x 62 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi. © 2022 Pechstein Hamburg / Preetz.

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Porträt des Künstlers Max Pechstein

A propos Max Pechstein

1881-1955

Max Pechstein était et est toujours aujourd’hui considéré comme l’un des représentants les plus importants de l’expressionnisme allemand. Au printemps 1906, il rejoint le collectif d’artistes "Die Brücke", fondé plus tôt dans l’année par Kirchner, Heckel, Schmidt-Rottluff et Bleyl. Outre sa peinture, son œuvre compte, dans le domaine graphique, plus de 850 xylographies, gravures à l’eau-forte et de lithographies.

La côte de la mer Baltique était à Max Pechstein ce qu’était Tahiti à Paul Gauguin: un paradis, où il trouvait non seulement la paix, mais surtout une grande source d’aspiration. Il voyagea à partir de 1909 plusieurs fois à Nida, sur l’isthme de Courlande, où plus d’un quart de siècle auparavant travaillait Louis Corinth comme jeune étudiant en art. Le chemin pour s’y rendre fût cependant interdit d’accès lorsque les accords de Versailles déclarèrent en 1920 l’isthme de Courlande sous administration des Alliés. Selon ses dires, Pechstein dût "se mettre à nouveau à la recherche d’un nouveau morceau de terre qui n’était pas surpeuplé de peintres, touristes et de baigneurs." C’est ce qu’il trouva à Leba, qu’il fréquenta désormais régulièrement pendant l’été.

"Pendant plus de 20 ans, Max Pechstein partit chaque été sur la côte de la mer Baltique, d’abord sur l’isthme de Courlande, puis en Poméranie, ce qui le lie bien sûr fortement à notre maison. Lorsqu’il loua pour la première fois en 1921, à l’époque encore avec sa première femme, il était loin de s’imaginer la liaison qu’il ressentira avec la petite ville portuaire de Leba, puisqu’il y tomba amoureux de Marta Möller, la fille de l’aubergiste. La pipe toujours au coin de la bouche et la peau bronzée et tatouée d’une ancre, Pechtsein, le passionné de pêche, fût accompagné jusqu’à la fin de sa vie par la nature immaculée, avec ses lagunes côtières, et d’un bateau de pêche dans le port, même lorsqu’après la Seconde Guerre mondiale, lui et sa femme ne purent plus voyager jusqu’en Poméranie." (Dr. Birte Frensen, Directrice adjointe au musée régional de Poméranie à Greiswald)

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