Salvador Dalí:
Tableau "L'Éléphant Girafe" (1948), encadré
Vue proportionnelle
Tableau "L'Éléphant Girafe" (1948), encadré
Salvador Dalí:
Tableau "L'Éléphant Girafe" (1948), encadré

Brève info

limité, 499 exemplaires | certificat numéroté | reproduction, impression Giclée sur toile | vernis d'artiste | sur châssis | encadré | taille 70 x 58 cm (h/m)

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Réf. produit IN-700031.R1

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Tableau "L'Éléphant Girafe" (1948), encadré
Salvador Dalí: Tableau "L'Éléphant Girafe" (1948), encadré

Description détaillée

Tableau "L'Éléphant Girafe" (1948), encadré

L'éléphant porte sur son dos un obélisque en ruine, symbole du pouvoir absolu. Mais le pouvoir est soulevé du sol, se déplaçant sur de fines pattes de girafe à des hauteurs sphériques. Les gens au sol sont distants et ravis. Mais tout en haut, le vrai pouvoir se révèle, l'omnipotence de Dieu, symbolisée par la lumière de la vérité qui brille depuis le nuage.

Reproduction de haute qualité selon le procédé Fine Art Giclée, réalisée à la main selon un procédé breveté sur une toile d'artiste et montée traditionnellement sur un châssis en bois. La surface du motif, avec une structure de lin visible et tactile et une texture de pinceau supplémentaire appliquée à la main, souligne l'effet de peinture. Enfin, l'image est scellée avec un vernis d'artiste pour la protéger. Édition limitée à 499 exemplaires, avec un certificat numéroté au dos. Dans un cadre en bois véritable fait à la main. Dimensions : 70 x 58 cm (h/l).

Porträt des Künstlers Salvador Dalí

A propos Salvador Dalí

1904-1989 - artiste du siècle d’Espagne, représentant principal du surréalisme

Ses provocations ont choqué le monde de l’art, ses visions ont passionné les masses. Sans aucun doute, Salvador Dalì appartient aux personnalités les plus énigmatiques de l’histoire de l’art. Que ce soit en tant que peintre, graphiste, illustrateur, sculpteur, metteur en scène ou écrivain, Dalì empruntait constamment de nouveaux chemins et servit de référence pour sa génération et celles qui suivirent.

Pour Salvador Dalì, la peinture était une représentation de son imagination, stimulée par une réalité qu’il s’était lui-même créée. Selon lui, les rêves et les hallucinations sont le monde réel. La thématique de son œuvre est marquée par la constante exploration de son moi intérieur et par les influences de la psychanalyse de Freud.

Le représentant principal du surréalisme vériste commença sa formation à l’académie de Madrid, mais en fût expulsé à cause de son comportement dissident. Ça ne l’empêcha pas de continuer d’étudier les tableaux d’anciens maîtres, dont on retrouve les motifs dans ses propres œuvres. Son œuvre de jeunesse est marquée par le cubisme et le futurisme italien.

Par l’intermédiaire de Mirò, il se joignit en 1928 au cercle des surréalistes. C’est là qui rencontra Gala, la muse des surréalistes. Elle fût sa compagne et modèle pour de nombreuses œuvres.

L’artiste aux multiples facettes ne se contentait pas seulement de la peinture et la sculpture, mais s’intéressait aussi à la production de film. Avec Buñuel, ils produisirent en 1929 "le chien andalou". Un an plus tard, il publia son premier livre, dans lequel il expose sa "méthode paranoïaque-critique".

En 1940, Dalì part 8 ans aux États-Unis où il travaille majoritairement dans la mode et la publicité. Revenu en Espagne, il se convertit au catholicisme et incorpore de plus en plus de sujets religieux et mythologiques à son œuvre.

Les formes et les figures bizarres dans ses tableaux diffèrent souvent de la réalité et sont mises en lien avec des combinaisons d’objets absurdes pour créer un monde fantastique. Ce faisant, ses œuvres disposent tout de même d’un réalisme surprenant. Pour Salvador Dalì, l’élément essentiel de son art et de son comportement était la mise en scène de la provocation.

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