Tableau "Awl" (1965)
Tableau "Awl" (1965)
Brève info
limité, 200 + 50 exemplaires A.P. | numéroté | signé | sérigraphie sur papier | encadré | format 80 x 68 cm
Description détaillée
Tableau "Awl" (1965)
Sérigraphie originale, 1965. Édition : 200 + 50 exemplaires A.P. (offerts ici) sur papier, numérotés et signés à la main. Taille du motif 38,5 x 33,5 cm. Dimensions dans le cadre 80 x 68 cm comme indiqué.
Hersteller: ars mundi Edition Max Büchner GmbH, Bödekerstraße 13, 30161 Hannover, Deutschland E-Mail: info@arsmundi.de
A propos Jim Dine
L’artiste pop art Jim Dine est né le 16 juin 1935 à Cincinnati, dans l’Ohio. Peintre, graphiste, sculpteur et artiste de happening, mondialement connu notamment pour la virtuosité de sa maîtrise de techniques complexes, il termine ses études en 1958 à l’université de Cincinnati et à la Boston Museum School. De 1960 à 1965, il est invité à enseigner dans plusieurs universités américaines.
À la fin des années 1960, Jim Dine arrive à New York et évolue dans l’atmosphère du pop art naissant. Avec Claes Oldenburg et Tom Wesselmann, il fonde une galerie dans laquelle il réalise ses premiers happenings, qui l’ont rendu célèbre par la suite.
Aujourd’hui, Dine est considéré comme un artiste du pop art et est particulièrement apprécié pour sa peinture et son graphisme. Il occupe toutefois une place à part dans l’histoire de l’art en raison de son écriture poétique et de sa collection de motifs très personnels, où apparaissent régulièrement des variations sur le thème du cœur. Le geste pictural spontané de Dine montre sa proximité avec l’expressionnisme abstrait, mais aussi avec le dadaïsme et le surréalisme.
Expositions : The Museum of Modern Art, New York, Tate Gallery, Londres, Stedelijk Museum, Amsterdam, Walker Art Center, Minneapolis, Centre Pompidou, Paris, Nelson-Atkins Art Museum, Kansas City, documenta, Kassel, Biennale, Venise.
Domaine de la gravure qui comprend des représentations artistiques à partir de différentes techniques d’impression.
On compte parmi les techniques de gravure, entre autres, la xylographie, la chalcographie, la lithographie, la sérigraphie et la gravure à l’eau forte.
Au début des années 1950, la scène culturelle vécut un bouleversement. De jeunes artistes des États-Unis et d’Angleterre, complètement indépendamment les uns des autres, firent rupture avec toutes les traditions de la création artistique et firent du modernisme un nouveau courant artistique.
Aux États-Unis, ce sont les artistes Roy Lichtenstein, Andy Warhol, Tom Wesselmann et James Rosenquist, qui trouvèrent leurs sujets dans le monde de la publicité et de la bande dessinée, dans le culte des célébrités et dans l’anonymat de la culture de la capitale. À travers des couleurs crues, l’hyper-dimensionnalité et la manipulation des perspectives de profondeur, ils créèrent de nouvelles œuvres provocantes qui s’imprégnaient de l’esprit du temps. Richard Hamilton et Eduardo Paolozzi devinrent, à travers la célèbre exposition ‘This is Tomorrow’ à la galerie d’art dans le district londonien de Whitechapel, les précurseurs du Pop art en Angleterre. Dans les années 1960, David Hockney, Allan Jones, Peter Phillips et Derek Boshier leur emboîtèrent le pas.