Sculpture "Tête de Bouddha", bronze
Sculpture "Tête de Bouddha", bronze
Brève info
limité, 99 exemplaires | numérotés | signés | bronze + pierre | patinés | polis | dimensions totales 20 x 53 x 20 cm (l/h/j)
Description détaillée
Sculpture "Tête de Bouddha", bronze
Édition en bronze fin. Coulée à la main selon le procédé de la cire perdue, patinée et polie à la main. Édition mondiale limitée à 99 exemplaires, numérotés et signés. Sur un socle en diabase avec une tige qui peut être tournée librement dans n'importe quelle direction. Dimensions, piédestal compris, 20 x 53 x 20 cm (l/h/p).
Producteur : ars mundi Edition Max Büchner GmbH, Bödekerstraße 13, 30161 Hanovre, Allemagne E-mail : info@arsmundi.de
A propos Ma Tse Lin
Ma Tse Lin est né en 1960 à Guan-dong (Chine), fils d'un banquier. Ses parents étaient de fervents bouddhistes. Dès l'âge de 11 ans, le talent artistique remarquable de Ma Tse Lin s'est révélé en peignant des caractères chinois à l'école. Après avoir été diplômé de l'École des Beaux-Arts de Pékin, il est devenu en 1985 le premier étudiant chinois à être admis à l'École nationale des Arts décoratifs de Paris, où il a obtenu le premier prix de peinture.
La première exposition individuelle de Ma Tse Lin a eu lieu à Paris dès 1988. De nombreuses autres expositions ont suivi en Europe, aux États-Unis et en Asie. Entre-temps, ses œuvres ont fait leur entrée dans des collections et des musées renommés en Chine et aux États-Unis. L'ambassade de Chine le présente aujourd'hui fièrement comme une figure de proue du modernisme sino-européen.
Après avoir expérimenté de nombreux matériaux, techniques et motifs différents, Ma Tse Lin consacre aujourd'hui son travail exclusivement à Bouddha.
Alliage de cuivre avec d’autres métaux (surtout avec de l’étain) utilisé depuis l’Antiquité. Métal résistant sur des millénaires, idéal pour la fonte d’œuvres d’art de grande valeur.
Dans la fonte de bronze, l’artiste utilise généralement le procédé à la cire perdue, vieux de plus de 5000 ans. C’est le meilleur procédé, mais aussi le plus complexe pour la conception de sculptures.
D’abord, l’artiste forme le modèle de sa sculpture. Celui-ci est, par la suite, encastré dans une masse liquide de silicone et de caoutchouc. Lorsque le matériau s’est durci, on retire le modèle en découpant autour. On coule de la cire liquide dans le moule négatif ainsi obtenu. Après refroidissement, le sculpture en cire est retirée du moule, pourvu de canaux de fonte, pour être ensuite plongé dans une solution de céramique. Cette solution est alors durcie dans un fourneau, alors que la cire s’écoule (moule perdu).
On se trouve ainsi en possession du moule négatif dans lequel du bronze fondu à 1400°C peut être coulé. Après le refroidissement du bronze, la coque en céramique est brisée et la sculpture ressort.
Ensuite, les canaux de fonte sont retirés, et la surface est polie, patinée et numérotée par l’artiste ou par un spécialiste suivant ses instructions. Ainsi, chaque fonte est un original.
Dans le cas de fonte de bronze de moins grande valeur, on utilisera plutôt le procédé de la fonte au sable, qui n’équivaut pas la qualité et la reconstitution de la surface atteintes par le complexe procédé à la cire perdue.
Représentation plastique de la tête et des épaules d’une personne.
Œuvre d’art plastique en bois, en pierre, en ivoire, en bronze et bien d’autres métaux.
Alors que les sculptures de bois, d’ivoire ou de pierre doivent être directement travaillées à même le matériau, les sculptures de bronze sont formées à partir d’un modèle de l’œuvre, fabriquée en argile ou un autre matériau facilement malléable.
Après l’Antiquité gréco-romaine, la sculpture connut une apogée durant la Renaissance. L’impressionnisme donna à l’art sculptural une nouvelle impulsion. Des artistes contemporains, tels que Jörg Immendorff, Andora, Markus Lüpertz, ont également enrichi ce domaine de l’art par des sculptures majeures.