Max Pechstein:
Tableau "Nuages du soir" (1922), encadré
Vue proportionnelle
Tableau "Nuages du soir" (1922), encadré
Max Pechstein:
Tableau "Nuages du soir" (1922), encadré

Brève info

ars mundi Édition exclusive | limitée, 199 exemplaires | certificat numéroté | reproduction, impression Giclée sur toile | sur châssis | encadrée | taille ca. 61 x 75 cm (h/l)

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Variante de cadre
Tableau "Nuages du soir" (1922), encadré
Max Pechstein: Tableau "Nuages du soir" (1922), encadré

Description détaillée

Tableau "Nuages du soir" (1922), encadré

"Les couleurs de la Courlande sont le bleu et le vert, beaucoup de bleu [...] tout est très pittoresque", rapportait déjà Pechstein en 1909. L'image représente un village de la mer Baltique, vraisemblablement automnal en raison de la récolte du foin, qui est voûté par des nuages lumineux éclairés par le soleil.
L'original : Huile sur toile. Prêt de la collection privée, Reiss-Engelhorn-Museum, Mannheim, © 2022 Pechstein Hamburg / Preetz.

Impression giclée sur toile. Encadrée dans un cadre en bois massif fait à la main. Édition limitée à 199 exemplaires. Certificat numéroté au dos. Dimensions : 61 x 75 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi.

Porträt des Künstlers Max Pechstein

A propos Max Pechstein

1881-1955

Max Pechstein était et est toujours aujourd’hui considéré comme l’un des représentants les plus importants de l’expressionnisme allemand. Au printemps 1906, il rejoint le collectif d’artistes "Die Brücke", fondé plus tôt dans l’année par Kirchner, Heckel, Schmidt-Rottluff et Bleyl. Outre sa peinture, son œuvre compte, dans le domaine graphique, plus de 850 xylographies, gravures à l’eau-forte et de lithographies.

La côte de la mer Baltique était à Max Pechstein ce qu’était Tahiti à Paul Gauguin: un paradis, où il trouvait non seulement la paix, mais surtout une grande source d’aspiration. Il voyagea à partir de 1909 plusieurs fois à Nida, sur l’isthme de Courlande, où plus d’un quart de siècle auparavant travaillait Louis Corinth comme jeune étudiant en art. Le chemin pour s’y rendre fût cependant interdit d’accès lorsque les accords de Versailles déclarèrent en 1920 l’isthme de Courlande sous administration des Alliés. Selon ses dires, Pechstein dût "se mettre à nouveau à la recherche d’un nouveau morceau de terre qui n’était pas surpeuplé de peintres, touristes et de baigneurs." C’est ce qu’il trouva à Leba, qu’il fréquenta désormais régulièrement pendant l’été.

"Pendant plus de 20 ans, Max Pechstein partit chaque été sur la côte de la mer Baltique, d’abord sur l’isthme de Courlande, puis en Poméranie, ce qui le lie bien sûr fortement à notre maison. Lorsqu’il loua pour la première fois en 1921, à l’époque encore avec sa première femme, il était loin de s’imaginer la liaison qu’il ressentira avec la petite ville portuaire de Leba, puisqu’il y tomba amoureux de Marta Möller, la fille de l’aubergiste. La pipe toujours au coin de la bouche et la peau bronzée et tatouée d’une ancre, Pechtsein, le passionné de pêche, fût accompagné jusqu’à la fin de sa vie par la nature immaculée, avec ses lagunes côtières, et d’un bateau de pêche dans le port, même lorsqu’après la Seconde Guerre mondiale, lui et sa femme ne purent plus voyager jusqu’en Poméranie." (Dr. Birte Frensen, Directrice adjointe au musée régional de Poméranie à Greiswald)

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