Tableau "Homme perroquet" (1901), version encadrée noir et or
Tableau "Homme perroquet" (1901), version encadrée noir et or
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 980 exemplaires | certificat numéroté | reproduction, impression Giclée sur toile | sur châssis | encadrée | taille 66 x 53 cm (h/l)
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Description détaillée
Tableau "Homme perroquet" (1901), version encadrée noir et or
Max Slevogt (1868-1932) est considéré comme l'un des grands impressionnistes allemands, aux côtés de Lovis Corinth et Max Liebermann. Mais cette catégorisation doit être prise avec des pincettes. C'est ce qui est apparu en 2018, lorsqu'une grande exposition organisée au Landesmuseum Hannover à l'occasion du 150e anniversaire de sa naissance a présenté le large éventail de son œuvre - en tant que peintre, graphiste, illustrateur et scénographe. Selon un article de Frank G. Kurzhals publié dans le magazine d'art allemand "Weltkunst", l'exposition l'a finalement montré comme un "équilibriste entre les styles" et comme un représentant d'"un art qui ne reproduit pas seulement ce qui est visible, mais qui essaie aussi de le rendre visible". L'œuvre "Homme perroquet", appartenant à la collection du Landesmuseum, a également été exposée.
Original : 1901, huile sur toile, dimensions 81 x 61 cm (h/w), propriété de la ville de Hanovre.
Édition limitée brillante et authentique de 980 exemplaires avec certificat numéroté au dos. Giclée Fine Art sur toile d'artiste 100% coton, tendue sur châssis en bois. Encadré dans un cadre en bois massif noir et doré. Dimensions : 66 x 53 cm (h/l). Édition exclusive ars mundi.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
Représentation de scènes typiques de la vie quotidienne en peinture. On distingue entre genre paysan, bourgeois ou courtois.
Le genre vécut son apogée et une forte diffusion dans la peinture hollandaise du 17ème siècle. Au 18ème siècle, la peinture courtoise-galante prit de l’ampleur en France, alors qu’elle était, en Allemagne, plutôt marquée par son caractère bourgeois.
La méthode dite en "giclée" est un procédé d’impression digitale. Il s’agit d’une impression de haute définition et en grand format sur une imprimante à jet, de fines gouttelettes d’encres spéciales de couleurs différentes et à partir de colorant ou de pigment (généralement entre 6 et 12). Les couleurs sont résistantes à la lumière, c’est-à-dire aux UV qui pourraient dégrader leur pigmentation. Elles présentent une grande richesse de nuances, de contrastes ainsi qu’un haut degré de saturation.
Le procédé en giclée est approprié pour les toiles d’artistes, le papier pour aquarelle et le papier fait main, ainsi que pour la soie.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.