Otto Dix:
Tableau "Homme et fille" (1961)
Vue proportionnelle
Tableau "Homme et fille" (1961)
Otto Dix:
Tableau "Homme et fille" (1961)

Brève info

limité, 50 exemplaires | numéroté | signé | titré | daté | lithographie sur papier vélin | encadré | format 83,5 x 77,5 cm

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Tableau "Homme et fille" (1961)
Otto Dix: Tableau "Homme et fille" (1961)

Description détaillée

Tableau "Homme et fille" (1961)

Lithographie originale, 1961. Tirage à 50 exemplaires sur papier vélin, numérotés, datés, titrés et signés manuellement : 50 exemplaires sur papier vélin, numérotés, datés, titrés et signés à la main. Taille du motif 52,2 x 52,5 cm. Dimensions de la feuille 76,5 x 64,3 cm. Encadrement 83,5 x 77,5 cm comme indiqué.

A propos Otto Dix

1891-1969

Otto Dix, né en 1891 à Gera (Thuringe), étudia à l’école des arts et métiers de Dresde et servit comme volontaire pendant la Première Guerre mondiale. Il réalise à cette période des gouaches et des dessins qui ont pour sujet la guerre. À son retour, il reprend ses études.

Après des incursions artistiques dans l’expressionnisme, le futurisme et le dadaïsme, Dix trouva son propre style à travers un réalisme exagéré qui lui permettait de tendre un miroir à la société. En tant que l’un des principaux protagonistes de la Nouvelle Objectivité, Dix devint un grand chroniqueur de son époque et l’un des artistes allemands les plus célèbres. Avec le triptyque de la « Grande Ville » (1927/28), Dix créa un classique de la Nouvelle Objectivité, aujourd’hui mondialement connu.

En 1933, Dix perdit son poste de professeur à l’Académie des Beaux-Arts de Dresde à cause de la diffamation des Nazis, ce qui le poussa à s’installer dans le sud de l’Allemagne, où il réalisa principalement des paysages.

Dans son œuvre tardive, après 1945, Dix revient à l’esthétique expressionniste de ses débuts et délaisse la peinture au glacis pour la peinture alla prima et les lithographies.

Dans son œuvre graphique tardive, on retrouve des portraits d’animaux avec des lignes et des couleurs expérimentales, qui montrent une série d’œuvres expressives représentant le même motif à partir de différentes techniques – le chat et le coq. À partir de 1949, il commence à découvrir le coq comme l’un de ses sujets de prédilection, qui réapparaît régulièrement dans ses œuvres au cours des années suivantes, comme dans ses dessins au crayon sur papier aquarelle « Lac de Constance, paysage avec coq » de 1954 et « Coq devant le soleil levant » de 1950-1955, ainsi que « Pierre et le coq », une lithographie en couleurs de 1958.

Son réalisme à la fois ambivalent et engagé n’a jusqu’à aujourd’hui rien perdu de son caractère explosif. « Je m’efforce de saisir le sens de notre époque dans mes œuvres, car je pense qu’un tableau doit avant tout aborder un sujet, une thématique. Peindre est une tentative de créer de l’ordre, l’art pour moi est un envoûtement. »

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