Tableau "Venise, le nuage rose" (1909), encadré
Tableau "Venise, le nuage rose" (1909), encadré
Brève info
limité, 499 exemplaires | certificat | reproduction, impression Giclée sur toile | sur châssis | encadré | taille approx. 68 x 85 cm (h/w)
Description détaillée
Tableau "Venise, le nuage rose" (1909), encadré
Original : 1909, huile sur toile, Collection graphique Albertina, Vienne.
Reproduit selon le procédé Fine Art Giclée directement sur toile de coton et monté sur un châssis en bois massif pour une reproduction brillante et authentique. Édition limitée à 499 exemplaires, avec certificat. Encadré dans un cadre en bois véritable fait à la main. Dimensions : environ 68 x 85 cm (h/l).
A propos Paul Signac
1863-1935
Les couleurs ne se mélangent pas sur la palette, mais dans l'œil qui regarde. C'est l'idée de base que Paul Signac a reprise de Seurat en 1884 et qu'il a mise en œuvre sur la toile avec des touches de couleur méticuleusement posées sur la toile et une connaissance approfondie de l'optique et de la pyhsiologie de la perception.
Le pointillisme, en tant que courant artistique néo-impressionniste, a donné naissance à des chefs-d'œuvre dont la luminosité est difficilement égalable grâce à l'utilisation intelligemment pensée de couleurs primaires concurrentes et correspondantes.
La méthode dite en "giclée" est un procédé d’impression digitale. Il s’agit d’une impression de haute définition et en grand format sur une imprimante à jet, de fines gouttelettes d’encres spéciales de couleurs différentes et à partir de colorant ou de pigment (généralement entre 6 et 12). Les couleurs sont résistantes à la lumière, c’est-à-dire aux UV qui pourraient dégrader leur pigmentation. Elles présentent une grande richesse de nuances, de contrastes ainsi qu’un haut degré de saturation.
Le procédé en giclée est approprié pour les toiles d’artistes, le papier pour aquarelle et le papier fait main, ainsi que pour la soie.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.