Tableau "Marie, la femme de l'artiste, dans le jardin" (1895), encadré
Tableau "Marie, la femme de l'artiste, dans le jardin" (1895), encadré
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 499 exemplaires | certificat numéroté | reproduction, impression Giclée sur toile | sur châssis | encadrée | taille 78 x 63 cm (h/l)
Description détaillée
Tableau "Marie, la femme de l'artiste, dans le jardin" (1895), encadré
Original : Huile sur bois. Christie's Images Ltd.
L'œuvre originale a été transférée directement sur une toile d'artiste 100 % coton en utilisant le procédé Fine Art Giclée pour une reproduction brillante et authentique et montée sur un châssis. La surface du motif, avec sa structure tactile et visible en lin, souligne l'effet similaire à celui d'une peinture. Édition limitée à 499 exemplaires, avec un certificat numéroté au dos. Encadré dans un cadre de musée fait à la main. Dimensions : 78 x 63 cm (h/l). En exclusivité chez ars mundi.
A propos Peder Severin Kroyer
1851-1909
Au Danemark et en Norvège, tous les enfants connaissent Peder Severin Krøyer. Le peintre norvégien et danois de Skagen est l’icône de l’impressionnisme nordique.
Dès ses 14 ans, Krøyer fit des études à l’académie royale des Beaux-Arts du Danemark. En jeune artiste, il fit entre 1877 et 1881 des voyages prolongés en Espagne, en Italie, en France et en particulier à Paris, où il étudia les impressionnistes. À l’été 1882, il alla pour la première fois à Skagen, où il passa dès lors chacun de ses étés et devint le représentant principal du collectif d’artistes éponyme.
Ses tableaux montrent la vie insouciante de l’artiste, ses fêtes, promenades le long de la plage et les soirées animées au clair de lune.
Ce n’est pas seulement sa maîtrise technique et la virtuosité de son maniement des questions de composition figurative et de l’harmonisation des couleurs qui ont fait de Krøyer un grand maître. C’est également son sens de l’observation et le fait que les atmosphères parfaitement capturées de ses peintures avaient un effet presque immédiat sur l’observateur.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
Représentation de scènes typiques de la vie quotidienne en peinture. On distingue entre genre paysan, bourgeois ou courtois.
Le genre vécut son apogée et une forte diffusion dans la peinture hollandaise du 17ème siècle. Au 18ème siècle, la peinture courtoise-galante prit de l’ampleur en France, alors qu’elle était, en Allemagne, plutôt marquée par son caractère bourgeois.
La méthode dite en "giclée" est un procédé d’impression digitale. Il s’agit d’une impression de haute définition et en grand format sur une imprimante à jet, de fines gouttelettes d’encres spéciales de couleurs différentes et à partir de colorant ou de pigment (généralement entre 6 et 12). Les couleurs sont résistantes à la lumière, c’est-à-dire aux UV qui pourraient dégrader leur pigmentation. Elles présentent une grande richesse de nuances, de contrastes ainsi qu’un haut degré de saturation.
Le procédé en giclée est approprié pour les toiles d’artistes, le papier pour aquarelle et le papier fait main, ainsi que pour la soie.
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.