Tableau "Vase avec lauriers-roses" (1888), encadré
Tableau "Vase avec lauriers-roses" (1888), encadré
Brève info
limité, 950 exemplaires | réplique originale de Dietz | huile sur toile | sur châssis | encadré | taille approx. 64 x 75 cm (h/w)
Description détaillée
Tableau "Vase avec lauriers-roses" (1888), encadré
Original : 1888, huile sur toile, 60,3 x 73,6 cm, Metropolitan Museum of Art, New York.
Réplique originale de Dietz à l'huile sur toile en 90 couleurs. Édition limitée à 950 exemplaires. Montée sur châssis. Encadré avec une bande de bois véritable marron. Dimensions, y compris le cadre, environ 64 x 75 cm (h/l).
A propos Vincent van Gogh
1853-1890 - précurseur de l’expressionisme
"Soit cet homme devient fou, soit il nous laisse tous loin derrière lui," prédisait déjà Camille Pissarro à propos de Vincent van Gogh, fils de pasteur né en 1853. Le hollandais devint en effet un pionnier du modernisme, dont les lignes galbées et couleurs lumineuses ont initié l’expressionnisme. Alors que van Gogh ne gagnait guère de quoi se permettre de la peinture et des toiles de son vivant et dépendait de l’aide financière de son frère Theo, ses œuvres se vendent aujourd’hui régulièrement pour des dizaines de millions d’euros dans des ventes aux enchères spectaculaires.
Van Gogh (1853-1890) vient d’une famille de pasteurs protestante de Groot-Zundert dans le Brabant. Ses premiers contacts avec l’art se firent grâce à un de ses oncles, marchand d’art. Dans les premiers temps, van Gogh travaillait dans des branches de la galerie Goupil & Cie à la Haye, Londres et Paris, mais aussi en tant que professeur à domicile en Angleterre et comme pasteur méthodiste. C’est en tant que pasteur dans la région minière de Borinage qu’il peignit pour la première fois. Par la suite et pendant quelques mois, il assiste à des cours à l’académie de Bruxelles, mais se forme surtout en tant qu’autodidacte.
Ses premières peintures à l’huile représentent de pauvres fermiers et travailleurs. Ce sont des représentations très sombres et peintes avec des lignes simples et larges. Après un passage par Anvers, où il resta pendant trois mois et découvrit la simplicité et l’élégance des estampes japonaises colorées, il arriva ensuite à Paris. Il y trouva le soleil et les couleurs claires. Il étudia les impressionnistes, les pointillistes et les jeunes symbolistes, il peignit des paysages urbains, ruraux et des portraits.
À la recherche de plus de lumière et de liberté, il partit à Arles en 1888, dans le sud de la France, où son ami Paul Gauguin le suivit. Van Gogh avait pour projet de former un village d’artistes et d’inviter tous ses amis artistes à venir vivre et travailler avec lui, mais son plan échoua. Après une altercation dramatique avec Gauguin durant laquelle van Gogh se blessa lui-même à l’oreille, il dût à plusieurs reprises être admis à l’hôpital pour de longs séjours à cause de dépressions mentales. Ces crises s’accentuèrent avec le temps et conduisirent finalement à son suicide.
Van Gogh peignit ses peintures les plus célèbres de son temps passé à Arles. On y retrouve toute la force lumineuse du soleil; les champs, les arbres et les nuages expriment de façon saisissante la violence de la nature. Pour les observateurs que nous sommes aujourd’hui, il est difficile de s’imaginer quelle force devait être nécessaire pour créer des chefs-d’œuvre si joyeux dans un tel état de détresse psychologique. Cela reste le secret de van Gogh, et jusqu’à aujourd’hui celui de son œuvre tardive.
Procédé révolutionnaire développé par Günter Dietz pour la réplique authentique de tableau, par lequel sont utilisées, non pas les peintures d’impression habituelles, mais les mêmes peintures que celles utilisées dans l’original par l’artiste. Selon la technique de peinture de l’artiste, jusqu’à 140 applications de couleurs différentes peuvent être nécessaires pour atteindre une représentation parfaite de l’original, ce qui permet également de reproduire le relief et la texture de l’œuvre.
Voyez par exemple l’œuvre d’August Macke "Couple à la table du jardin":
En outre, le même matériel que le porteur d’origine est utilisé; la reproduction se fait alors sur toile, papier, bois, cuivre, parchemin.
Cela résulte en une reproduction parfaite et sans grille qui se rapproche de l’original en termes d’effet et d’expressivité. Même les professionnels de musée ne peuvent souvent pas distinguer l’original de la reproduction. C’est pourquoi une note de sécurité doit être insérée, visible uniquement au rayon X.
Le tirage de la plupart des reproductions de Dietz est souvent limité à 950 exemplaires. Chaque reproduction de toile est tendue comme le modèle sur un châssis à clés afin que vous puissiez retendre la toile en cas de fluctuation de la température de la pièce et de l’humidité de l’air. Des lames de bois massif de grande qualité complètent l’apparence de chaque reproduction de Dietz.
De nombreux grands chefs-d’œuvre de la peinture, par Rembrandt, Caspar David Friedrich, Claude Monet, Gustav Klimt et bien d’autres ont été reproduits par la Dietz Offizin. De célèbres artistes de l’art moderne, tels que Pablo Picasso, Salvador Dalí, Max Ernst, Friedensreich Hundertwasser, Juan Miró ou encore Marc Chagall, ont utilisé le procédé développé par Günter Dietz pour la conception de reproductions de leurs propres œuvres.
Commentaires de la presse:
"Le système de Dietz permet des œuvres semblables aux originaux. Ce que l’électronique a atteint pour la reproduction musicale avec l’invention de la Hi-Fi et de la stéréo, c’est ici la technique graphique qui l’a reproduit pour les arts plastiques. " (Die Zeit)
"Il n’y a en théorie aucune différence entre l’original et la reproduction de Dietz. Bien plus que des reproductions, on devrait les appeler des fac-similés." (Newsweek)
"Ce qui était resté jusqu’à aujourd’hui impossible à produire pour tous les imprimeurs d’art du monde entier, Dietz réussit tout seul à le faire à l’aide de cette technique d’impression : une parfaite reproduction d’œuvres picturales." (Der Spiegel)
L’impressionnisme, courant artistique de la peinture française apparu vers 1870, tient son nom du tableau de Claude Monet ‘Impression, Soleil levant’. Après le rejet initial que cette peinture reçut, elle fit une avancée triomphante.
Des peintres tels que Claude Monet, Edgar Degas, Édouard Manet et Auguste Renoir, entre autres, créèrent des motifs de la vie quotidienne, des scènes urbaines et pittoresques capturées dans une lumière claire et naturelle.
L’impressionnisme est à percevoir comme une réaction à la peinture de l’académisme : on ne cherche pas à mettre en avant le contenu à travers une constellation figurative structurée par des règles strictes, mais plutôt à mettre en valeur l’objet, la manière qu’il a d’apparaître à un moment donné, souvent fortuit. La réalité est perçue dans toute sa diversité de couleurs dans un éclairage naturel. La peinture sur le motif se substitue à la peinture en atelier.
Le nouveau maniement de la couleur s’accompagne d’un éclaircissement de la palette et de la disparition des contours fermes. Les couleurs ne sont plus mélangées à plusieurs reprises sur la palette, mais sont disposées directement sur la toile les unes à côté des autres, de telle manière que l’impression finale n’apparaisse que dans les yeux de l’observateur, prenant un certain recul. Dans le pointillisme (avec des peintres tels que Georges Seurat ou Paul Signac), ce principe a été poussé à l’extrême.
En dehors de la France, on retrouve l’impressionnisme dans les œuvres de peintres tels que Max Slevogt, Max Liebermann ou Lovis Corinth en Allemagne, ou bien James A. M. Whistler aux États-Unis.
Dans la sculpture, l’impressionnisme ne s’exprima qu’occasionnellement. Dans les œuvres de Auguste Rodin, considéré comme son représentant majeur, se montre l’évaporation des surfaces, à travers laquelle le jeu de lumière et d’ombres est assimilé au message artistique. Degas et Renoir créèrent également des sculptures.
Reproduction fidèle à l’original d’une œuvre d’art dans les mêmes dimensions et si possible dans les mêmes matériaux et utilisant les mêmes couleurs.
Généralement, la forme est directement déclinée de l’original, de telle manière que la reproduction reconstitue les détails les plus délicats. Après la fonte de la reproduction à partir du procédé le plus approprié, la surface est polie, patinée, dorée et peinte conformément à l’original.
Une reproduction produite par ars mundi est un portrait reconnaissable de l’original.