Sculpture "Baigneuse debout drapée - Standing Bather with a Cloak" (1900), réduction en bronze
Sculpture "Baigneuse debout drapée - Standing Bather with a Cloak" (1900), réduction en bronze
Brève info
ars mundi Édition exclusive | limitée, 980 exemplaires | numérotée | signature | poinçon de fonderie | certificat | bronze | patiné | réduction | dimensions 38,5 x 10 x 10 cm (h/l/p) | poids 3,5 kg
Description détaillée
Sculpture "Baigneuse debout drapée - Standing Bather with a Cloak" (1900), réduction en bronze
Le thème principal d'Aristide Maillol est le nu féminin. Bien qu'il l'ait développé sur un modèle vivant, il a abandonné les caractéristiques individuelles pour créer une féminité harmonieuse et sensuelle par excellence. La "Baigneuse debout avec un manteau" montre que Maillol avait déjà trouvé très tôt sa propre expression stylistique, qu'il n'a pratiquement pas modifiée au cours des décennies suivantes.
Bronze fin, coulé à la main selon le procédé de la cire perdue et patiné en brun comme l'original. Directement moulé à partir de l'original et réduit en taille (réduction). Édition limitée à 980 exemplaires, numérotés individuellement et portant la signature de l'original ainsi que le poinçon de la fonderie. Édition exclusive ars mundi, publiée en collaboration avec la Kunsthalle de Brême. Avec certificat d'authenticité numéroté et limitation. Dimensions : 38,5 x 10 x 10 cm (h/l/p). Poids 3,5 kg.
"L'important sculpteur français Aristide Maillol est représenté par plusieurs œuvres dans la collection de la Kunsthalle de Brême. L'artiste a combiné une fascination de longue date pour le motif du nu féminin avec une expression stylistique réduite et classique. La Baigneuse debout avec manteau est une copie particulièrement réussie d'une figure en paix avec elle-même". (Prof. Dr Christoph Grunenberg, directeur de la Kunsthalle de Brême)
Alliage de cuivre avec d’autres métaux (surtout avec de l’étain) utilisé depuis l’Antiquité. Métal résistant sur des millénaires, idéal pour la fonte d’œuvres d’art de grande valeur.
Dans la fonte de bronze, l’artiste utilise généralement le procédé à la cire perdue, vieux de plus de 5000 ans. C’est le meilleur procédé, mais aussi le plus complexe pour la conception de sculptures.
D’abord, l’artiste forme le modèle de sa sculpture. Celui-ci est, par la suite, encastré dans une masse liquide de silicone et de caoutchouc. Lorsque le matériau s’est durci, on retire le modèle en découpant autour. On coule de la cire liquide dans le moule négatif ainsi obtenu. Après refroidissement, le sculpture en cire est retirée du moule, pourvu de canaux de fonte, pour être ensuite plongé dans une solution de céramique. Cette solution est alors durcie dans un fourneau, alors que la cire s’écoule (moule perdu).
On se trouve ainsi en possession du moule négatif dans lequel du bronze fondu à 1400°C peut être coulé. Après le refroidissement du bronze, la coque en céramique est brisée et la sculpture ressort.
Ensuite, les canaux de fonte sont retirés, et la surface est polie, patinée et numérotée par l’artiste ou par un spécialiste suivant ses instructions. Ainsi, chaque fonte est un original.
Dans le cas de fonte de bronze de moins grande valeur, on utilisera plutôt le procédé de la fonte au sable, qui n’équivaut pas la qualité et la reconstitution de la surface atteintes par le complexe procédé à la cire perdue.
Édition d’un tableau ou d’une sculpture à l’initiative d’ars mundi et disponibles uniquement chez ars mundi ou chez les partenaires commerciaux agréés d’ars mundi.
Terme qui désigne un objet d’art (sculpture, installation), fabriqué selon le souhait de l’artiste en plusieurs exemplaires, dont l’édition est limitée et numérotée.
Le principe de multiple permet à l’art de se "démocratiser", en rendant l’œuvre abordable et accessible pour un plus grand nombre de personnes.
Œuvre d’art plastique en bois, en pierre, en ivoire, en bronze et bien d’autres métaux.
Alors que les sculptures de bois, d’ivoire ou de pierre doivent être directement travaillées à même le matériau, les sculptures de bronze sont formées à partir d’un modèle de l’œuvre, fabriquée en argile ou un autre matériau facilement malléable.
Après l’Antiquité gréco-romaine, la sculpture connut une apogée durant la Renaissance. L’impressionnisme donna à l’art sculptural une nouvelle impulsion. Des artistes contemporains, tels que Jörg Immendorff, Andora, Markus Lüpertz, ont également enrichi ce domaine de l’art par des sculptures majeures.